Rencontre ( Public )

Je revenais de la clairière où j'avais passé de nombreuses heures à méditer. Après ce genre de séance, j'avais souvent besoin de prendre un bon repas. En chemin, je pensais qu''il faudrait peut être que je me rende aux halls car mes recherches sur la nature chimique des orchidées me demandaient des articles fort rares. En entrant de dans l'auberge, je saluais chaleureusement l'aubergiste et sa fille et commandait un bol de gruau et une chope de bière. Attendant ma commode, je m'asseyais à ma table habituelle, près d'une des rares fenêtres. J'aimais le côté anarchique du lieu. Cette auberge me permettait de me souvenir du temps bénit où j'étais encore au service de mon roi.

* Cet homme infâme qui n'a plus aucune considération pour son peuple. Un jour, je me vengerai. J'arriverai avec des soldats et nous....*

Heureusement, Amdir m'apporta mon plat, me tirant de mes pensées. C’était souvent désormais que je me laissais aller à ce genre de rêves. Je devrais en parler à ma sœur qui, sans aucun doute, saurait me conseiller. J'attaquais mon plat avec appétit. Comme quoi, on peut avoir des plaisirs simples. Alors que j'avais engloutit la moitié du gruau, une jeune femme que je ne connaissais pas entra et salua le tenancier. Content de voir que la colonie allait peut être croître, je l'invitais à s'asseoir à ma table. Ce chevalier affichait fièrement une épée étrange. Elle avait dans la vingtaine et des cheveux semblables à ceux de Maura. Elle était somme toute assez jolie mais une certaine timidité ce lisait sur ses traits. Alors qu'elle venait de s'asseoir, je lui demandais :

" - Comment vous appelez vous ? Je ne vous ai jamais rencontré. Qu'est ce qui vous amène parmi nous ? "

Lorsque j'entrais dans l'auberge, je saluais le tenancier. Je portais fièrement ma double épée avec moi. Puis j'écoutais la question d'un homme qui mangeait en me mettant à sa table.

Et bien je me nomme Félicie Firinne. Ce qui m'amène ici c'est que je ne sais pas trop... Je me suis laissé emporter par mes pieds et je vous assure que je ne sais pas grand chose de cette ville. Je me suis dit que ça serait pas mal de venir visiter et je suis atterrie ici à l'auberge car j'ai un peu faim. lui dit-elle un peu timide.

Je le regardais droit dans les yeux sans vraiment savoir qu’est-ce que je pourrait dire de plus.

Je souriais et lui répondit :

" Enchanté Félicie. Vos pieds vous ont guidée dans le bourg de Puymirail. Je l'ai fondé avec ma sœur et quelques pionnés qui voulaient échappés aux guerres qui se préparaient. Où avez vous eu cette arme étrange, demandais je en pointant du doigt l'arme. Et de quelle région êtes-vous originaire ? Qui vous a enseigné le métier de Chevalier ? Quel pouvoir élémentaire possédez-vous ? Avez-vous....."


Je buvais une grande gorgée de bière en pensant :

* Tais toi donc, tu vas l'effrayé. En plus, ce chevalier ne voudra peut être pas participé à notre combat. Quel intérêt elle y aurait ? *

M'étant calmé, je luis dis :

" Désolé mais je dois reconnaitre que la curiosité est mon plus grand défaut. Si vous avez des questions, n'hésitez pas."

Lorsque j'allait répondre à la première question en ouvrant la bouche, il lui poser d'autres questions, je ne peut s'empêcher de lui faire un grand sourire. Puis dès qu'il a finit, je vais pouvoir lui répondre gentiment.

Alors... Pour cette étrange arme, je l'ai eu par un mentor que je le considérée comme mon père. Je suis d'origine de la région des plaines de l'Ouest. Le mentor est Sylve Barbe qui était lui-même un chevalier, il a l'élémentaire feu, alors que moi j'ai le vent. répondis-je, toujours avec un sourire.

Je le regardait attentivement en l'écoutant.

Oh mais je ne vous en veux pas. Alors comme ça... Vous avez fondé cette ville avec votre sœur ?

" Je commence à comprdre. C'est vrai qu'un mentor peut remplacer un parent manquant, dis je avec émotion."

Je me replongeais dans cette tristesse qui n'avait jamais quitté mon coeur. Je ne pus empécher des larmes de couler. Elles aaient le gout de l'amertume. Quand Runan apporta la commande de Félicie, je repris :

"- Pour la création de cette ville, elle a un goût doux amer car ce bourg est le résultat de mon exil. En effet mon roi, dirigeant du peuple elfe fut envouté et nos conseils le contrarièrent, suffisament pour nous bannir."

* En paiment du sang de mes parents, de mon peuple, j'aurai le tien. Alors, j'abandonnerai ma haine.*

Je le regardais droit dans les yeux lorsqu'il parle, je ne l'interrompe pas une seule fois jusqu'à ce qu'il termine.

Cela n'a pas dû être facile pour vous lorsque votre roi n'a plus voulut écouter vos précieux conseils. En tout cas, je ferais un honneur sur ma propre tête que je vais protéger cette ville quoiqu'il se passe. Si vous avez besoin de quelque chose, n'hésitez pas à me le demander, je ferais tout ce que je pourrais. dis-je avec détermination.

Je lui fais un grand sourire en essayant de lui montrer qu'il peut compter sur moi et sur mon soutient.

Une légère sensation de picotement sur ma nuque m'avait poussé à sortir de la bibliothèque où je lisais paisiblement. Je connaissait cette sensation par coeur pour l'avoir éprouvé à mainte reprise.

*Tunvik qu'es-tu en train de faire?* pensais-je en soupirant et en me dirigeant vers l'auberge.

Il ruminait encore des idées noir j'en étais certaine. Cependant d'un seul coup la sensation se fit différente. Je ne savais pas pourquoi mais il avait abandonné ses idées noires, qui apparemment avaient rapidement été remplacé par un chose qui me rendis curieuse et que j'étais incapable d'expliquer.

J'entrais dans l'auberge en saluant Runan et Amdir et m'arrêtais brusquement. Mon petit frère était en train d'abreuver de question une jeune femme chevalier que je ne connaissais pas.

*Il ne la laisse même pas en placer une*, pensais-je avec amusement.

Heureusement le chevalier ne parut pas en être offusqué et répondis à tout les questions avec le sourire. C'est lorsqu'elle affirma être prête à tout pour protéger notre cité que je me dis qu'il était temps pour moi d'intervenir. Tunvik ayant tendance à se laisser emporté facilement, il aurait été capable de lui parler immédiatement de la guerre ce qui n'était pas l'idéal pour une première rencontre et une première impression de notre cité.

"Alors Amroth, encore en train de poser des question sans attendre les réponses?" demandais-je, amusé devant la mine contrit d'un gamin pris en faute.

Je me tourné ensuite vers la jeune inconnue et me présentais: "Bonjour, je suis maura woodbury, je suis la soeur aînée de Tunvik. Soyez la bienvenue à Puymirail."

J'étais tellement content d'avoir acquis une nouvelle personne à notre cause que je ne vis pas ma soeur arrivée. Devant sa pique, je pris un air désolé mais étant orgureilleux, j'étais blessé qu'ell me donne ce surnom.

* J'essaye de paraitre fort et toit tu casses tout, tu perds rien pour attendre.*

Pour me venger, je l'ignorais et répon dait au Chevalier :

"- Oui, cela nourrit une grande colère que, ma soeur , tente de modérer. Et toi Maura tu as découvert des choses avec tes lectures ?

Je ne vis pas arriver sur le moment la sœur de l'homme. Néanmoins, lorsque je l'aperçois, je souris toujours.

Je m'appelle Félicie Firinne. dis-je à Maura. Merci pour votre accueil.

Je ne décide pas de les interrompre, car je sais que cela ne se fait pas. Je les regarde tous les deux avec le même sourire qui reste coller sur mes lèvres.

J'entendis une porte s'ouvrir et se fermer, alors je tournai la tête pour savoir qui s'est et je remarque un homme. Je le regardais pendant qu'il va s'assoir à une table isolé. Je réfléchis alors pendant quelque instant en me demandant si je devrais aller le voir. *Je devrais peut-être y aller, on ne sait jamais, j'espère en tout cas qu'il ne va pas m'envoyer balader.* me dis-je dans ma tête. Je me lève et je vais aller le voir en disant légèrement à Maura et à l'homme que je reviens dans pas longtemps. Dès que je me suis retrouver en face de l'inconnu, je lui souris.

Bonjour à vous... Je m'appelle Félicie Firinne, et vous ? demandais-je en espérant que je ne lui ai fait pas peur.

Je m'étais assoupis sur ma table. Quand je me réveillais, plusieurs personnes avaient fait leur apparition. Je remarquais de suite un chevalier qui devait approcher du siècle de vie et qui appartenait à ma race d'origine. Malgé l'envie de tout se suite l'assaillir de questions, je me contentais de penser :


* Lui aussi fuirait il la folie de notre roi ? *

L'autre personne était discrète et m'inspirait pas confiance avec sa capuche rabaissé et son abscence de réactions. Ayant l'habitude de ttous partager, je rapprochais plusieurs tables. Je m'adressais à la salle entière :

" Bonjour à tous. Tous d'abord, bienvenu dans le bourg de Puymirail. Venez donc partagez ce repas. C'est moi qui paie. A qui ai je l'honneur ? Et vous, Madmame, pourriez vous découvrir votre visage ? Il est tellement plus agréable de savoir à qui on parle. "

J'étais toujours autant perdue dans mes pensées, des plus sombres ou plus joyeuses. Mais jamais vraiment très joyeuses. Je n'avais pas eue une enfance très facile, mais cela m'a vallut d'être ce que je suis maintenant, et tant mieux... Il fallait que je devienne aussi forte d'esprit... Et un jour peut-être...

" Bonjour à tous. Tous d'abord, bienvenu dans le bourg de Puymirail. Venez donc partagez ce repas. C'est moi qui paie. A qui ai je l'honneur ? Et vous, Madmame, pourriez vous découvrir votre visage ? Il est tellement plus agréable de savoir à qui on parle. "

Mes pensées furent arrêtées par cette voix d'homme, une voix forte et grave. Et cette voix s'adressait aussi à moi ! Pourquoi cet homme avait tant "d'intérêt" pour ma personne ? C'était absurde, d'habitude on me laissait vivre tranquillement... Tournant la tête vers la provenance de cette voix, j'observais longuement le vieil homme devant devant tous. Il semblait important... Mais le fait qu'il me demande de me découvrir ne me plaisait guère. Je n'aimais pas révéler mon visage, surtout à des inconnus, mais en tant que Chevalier, Je me devais de me montrer quelque peu amical, bien que je n'en avais pas envie. Alors, je retirais ma capuche de ma tête, laissant mes longs cheveux noirs et bouclés tomber sur mon visage de jeune femme. Je fixais toujours le vieil homme de mes yeux à la couleur si étrange tout en soupirant, toujours sans afficher la moindre expression.

- Mon nom importe peu, et ne vous dira sûrement rien. Il vous est bien aise de demander l'identité des autres, mais nous ne savons pas la votre.

Bonjour à vous... Je m'appelle Félicie Firinne, et vous ?

J'avais vu cette jeune femme s'approcher de moi à grands pas. Je la détaillais un instant, l'étudiant sous toutes les coutures. Quelque chose m'indiqua qu’elle maniait le même élément que moi, la force du vent était sienne. Je n'aurais sut dire si elle savait en faire usage avec sagesse et peu m'importait. Elle avait l'air noble et ses intentions pures. Alors que j'allais lui répondre, une jeune femme entra tel une ombre dans la salle. Vêtue d'une capuche, elle dégageait une méfiance sans bornes. Seulement je ne m'attardai pas sur elle, c'est alors qu'un homme prit la parole, s'adressant à toutes les personnes présente dans la pièce.

" Bonjour à tous. Tous d'abord, bienvenu dans le bourg de Puymirail. Venez donc partagez ce repas. C'est moi qui paie. A qui ai je l'honneur ? Et vous, Madmame, pourriez vous découvrir votre visage ? Il est tellement plus agréable de savoir à qui on parle. "

- Mon nom importe peu, et ne vous dira sûrement rien. Il vous est bien aise de demander l'identité des autres, mais nous ne savons pas la votre. répliqua la femme qui venait d'entrer.

Elle en avait du caractère... C'était bien, mais en avoir trop pouvait être néfaste. En tous cas elle ne semblait pas disposée à répondre aux éventuelles questions que posait l'homme. Dans le but de détendre l'atmosphère et de répondre à l'interrogation de Félicie, je clamais :

- Pour ma part, je suis Larchael, Chevalier à temps plein ! Je voyage à travers le monde dans le but d'aider ceux qui en ont réellement besoin, je suis là pour vous servir.

Visiblement mes paroles avaient heurtées la jeune Chevalier. Cependant, elle dédaigna baisser sa capuche. C'est alors que je vis ses yeux. Je fus d'abord stupéfait par leur couleur. Puis ce fut ce que j'y lus qui me suppris. En effet, j'y vis une douleur similaire à la mienne. Je compris alors sa réaction. Ensuite mon regard se posa sur Larchael. Malgré son entrainement, un trait elfique restait bien présent en lui : la volonté d'éviter les conflits. Me souvenant des paroles de la jeune fille, je dis d'une voix légèrement irrité :

" Je suis Tunvik, le dirigeant de cette ville avec ma soeur. Je fus le conseiller de mon roi avant d'être banni. Même si votre nom ne me dit rien, j'aime savoir qui viet dans ma ville. Sire Larchael, viendrez vous parlez avec moi de notre pays ? "

Pour les tenter, je commandais au patron une tournée de bière.

Après que la jeune félicie ait quitté notre table afin de faire connaissance d'un jeune chevalier qui venait d'entrer dans l'auberge, je terminais mon repas tranquillement pendant que Tunvik c'était assoupi. Peu de temps après une jeune femme entra à son tour dans l'auberge. Elle était calme, discrète et impassible. Une capuche masquait son visage. La sensation que je ressentais en regardant l'inconnue était étrange, elle semblait tellement fatiguée....
Je passais plusieurs moment à l'observer discrètement pour ne pas l'offenser. Quelle était donc cette étrange sensation au creux de mon ventre? Je ressentais un étrange besoin d'aller voir cette inconnue et de lui parler. Avait-elle besoin d'aide?
La soudaine activité de Tunvik me tira de mes pensais, il invitait tout le monde à notre table pour faire connaissance... Cela lui ressemblait bien, toujours pressé d'assaillir les gens de questions.

Je souris, mais je sentis immédiatement la méfiance qu'il avait à l'égard de cette inconnue dont il ne pouvait voir les yeux.

[Amroth ne soit pas si agressif en vers cette jeune fille. Il ne faut pas la brusquer sinon elle va se braquer. Reste calme], dis-je télépathiquement à mon petit frère.

Je m'éttoufai avec ma bière quand j'entendis sa voix dans ma tête. Je lui répondit :

[ Je suis encore le maître de cette ville qu'elle baisse d'un ton. Et tu as lu dans ses yeux ?]

Félicie semblait s'être mise à l'écart. Je lui faisait signe de revenir. J'étudais encore la mystérieuse jeune fille. Ses yeux avient parlés. Je regardais mainteant son code vestimentaire. Soudain la lumière se fit dans mon esprit et je m'apprêtais à faire partager mon observation à ma soeur, je préférai garder le silence pour une fois. Je demandais :

" Quelqu'un connait le pays nain ? "

- Pour ma part, je suis Larchael, Chevalier à temps plein ! Je voyage à travers le monde dans le but d'aider ceux qui en ont réellement besoin, je suis là pour vous servir.

" Je suis Tunvik, le dirigeant de cette ville avec ma soeur. Je fus le conseiller de mon roi avant d'être banni. Même si votre nom ne me dit rien, j'aime savoir qui viet dans ma ville. Sire Larchael, viendrez vous parlez avec moi de notre pays ? "

Je penche légèrement la tête de côté. Ah, voilà pourquoi sa figure lui disait quelque chose ! Tournant la tête vers le dénommé Larchael, elle l'étudia longuement avant de le reconnaître lui aussi. Elle l'avait vue, de loin, lors de son apprentissage. Comme elle avait changé maintenant ! Reportant son attention sur le Prévôt, elle décida de tout de même se présenter, même si cela ne l'enchantée guère.

- Appelez-moi Al', Chevalier de même. Par contre, je n'ai pas encore visité le pays des nains, pourquoi cette question ?

" Je suis Tunvik, le dirigeant de cette ville avec ma soeur. Je fus le conseiller de mon roi avant d'être banni. Même si votre nom ne me dit rien, j'aime savoir qui viet dans ma ville. Sire Larchael, viendrez vous parlez avec moi de notre pays ? "

- Ce sera avec plaisir, dis-je un souriant.

Mon regard se porta alors sur la jeune femme se faisant appeler Al'. Quelle drôle de pseudonyme, je me promis de tenter d'en apprendre plus sur elle, elle m'intriguais.

" Quelqu'un connait le pays nain ? "

- Pas réellement... J'en ai entendus parlé mais je n'ai jamais foulé ce sol.

Je souriais qu'en j'entendis la jeune femme nous donner son nom. Je lui fis un signe de tête et lui dis :

" Merci pour cette concessession. Excusez ma curiosité mais avez vous pretez serment à un ordre en particulier ? Pour le royaume des nains simple curiosité. "


Voyant que Larchael était d'accord pour parler de notre pays natal, je venais vers lui en pensant


* Tu viens de signer ton arrêt de mort. Ilm ne faut jamais me parler d'un sujet qui m'intéresse si on veut pas mourrir assasiner sous les questions.*

Je posais ma main sur son épaulee et l'entrainait vers ma table. Je lui proposai une bière et lui demandai :

" De quoi te souviens tu sur notre contrée ? "

" De quoi te souviens tu sur notre contrée ? "

Tunvik était donc venu, certainement pour m'assaillir de questions, il semblait lui aussi être un elfe et je me réjouis un instant de revoir l'un des miens. Enfin... oui je m'en réjouissais.

- Eh bien, de la verdure, des feuilles, des arbres, la nature... Pourquoi cette question soudaine ?